6 pouces de sol

#vendrediconfession

J’ai un groupe Facebook. Goûter et cultiver le Québec.

Poulefun. Depuis 2012.

J’ai été voir les stats par curiosité ce matin, après m’être demandé si 4131 membres, ça voulait vraiment dire quelque chose.

Voici donc les stats du 15 octobre au 15 novembre 2017

Membres actifs: 2700 

Nombre de personnes qui voient chaque publication en moyenne: 900 

Nouveaux membres: 46

Si vous lisez ça, vous constatez aussi que j’ai réanimé le blogue après 2 ans d’absence. Poulefun aussi.

Ce n’est pas parce que j’ai pas assez d’ouvrage.

C’est parce que j’ai dû me rendre à l’évidence: les vidéos de p’tits poussins et de p’tits veaux, ça m’émeut plus encore que les chatons.

Et je me suis alors rappelé qu’en 1e année d’université, il y a 23 ans, un de mes premiers projets dans le cour d’initiation à l’agriculture (lire: intégrer les importés de l’asphalte) a été de faire un vox pop au centre d’achats à côté de notre cher pavillon Comtois pour savoir

1- si les locaux savent qu’il y a une faculté d’agriculture juste à côté

2- quelle est leur perception de l’agriculture

3- qu’est-ce qu’ils aimeraient savoir sur l’agriculture

Le tout a permis de prouver qu’il y a un ravin entre les consommateurs et les agriculteurs, et notre projet a consisté à trouver des pistes d’approches pour créer des ponts.

C’était à l’époque du pas d’internet, 7 ans avant  Bacon, le film, qui fait encore polémique 16 ans plus tard, et la même année que la sortie de Rang 5.

Faque… on continue. À propager les infos, nouvelles et événements qui permettent d’ouvrir encore et encore le dialogue et de promouvoir notre savoir faire et notre passion.

Si vous voulez embarquer dans le bateau, partagez les publications Facebook du groupe, partagez les articles du blogue et suivez moi sur Twitter @gouterlequebec.

Si la plume vous démange, je prends aussi des collaborateurs. N’hésitez pas, t’à coup vous y prendriez goût.

Comme disait l’autre: sans agronomie nous serions nus, affamés et sobres.

Et rappelons-nous aussi que notre survie dépend d’environ 6 pouces de sol, de pluie et de soleil.

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