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Auto-cueillette d’arbres de Noël!

La saison de l’autocueillette n’est pas terminée! En effet, cinq producteurs d’arbres de Noël de la région ont rejoint la campagne Souvenirs de cueillette et offrent la chance à leur clientèle de vivre une expérience unique en se rendant directement à la ferme pour choisir leur arbre dans la plantation. Le Québec est un grand […]

Financement agricole Canada supporte La Coop fédérée dans sa croissance

Dans la foulée du Sommet international des coopératives, qui s’est déroulé du 8 au 11 octobre dernier à Québec, La Coop fédérée confirme l’annonce d’un partenariat d’envergure avec Financement agricole Canada (FAC) survenu cet été. Avec l’année internationale des coopératives qui s’achève, il est important de souligner cette collaboration. Pour La Coop fédérée cette association démontre bien la reconnaissance que l’on peut octroyer au modèle coopératif.

Poursuivre la mission

FAC consolide une facilité de crédit existante et procède à un déboursé additionnel immédiat de 33,6 millions $ à La Coop fédérée. Celle-ci utilisera ce financement afin de poursuivre sa mission et sa vision d’un avenir composé d’un projet agricole renouvelé, d’un développement stratégique de l’énergie verte, d’un modèle fort de la coopération agricole, et d’un nouveau contrat social. Ce nouvel emprunt sera remboursé d’ici 2022.

« Nous sommes très heureux de la marque de confiance démontrée, à nouveau, par FAC. Le fait qu’un partenaire d’une telle qualité possédant une compréhension hors pair des enjeux qui nous préoccupent nous soutienne financièrement augure très bien pour notre avenir. Une telle marque de confiance se veut particulièrement significative dans un contexte où le monde agricole est en pleine mutation offrant ainsi d’excellentes opportunités à ceux qui sauront le mieux se positionner et les saisir », a déclaré Monsieur Denis Richard, président de La Coop fédérée.

« Au fil des années, La Coop fédérée s’est démarquée à titre de joueur de premier plan de l’industrie agroalimentaire occupant elle-même une place importante dans notre économie. À la lumière des résultats obtenus à ce jour par La Coop fédérée, de leur solide situation financière et d’un plan stratégique clair, il était naturel pour nous de les supporter, dans leur développement » a déclaré Sophie MacDonald, vice-présidente Agroentreprise et capital de risque, à FAC.

À propos de La Coop fédérée

Fondée en 1922, La Coop fédérée est la plus grande entreprise agroalimentaire au Québec et se classe parmi les 100 coopératives et mutuelles les plus importantes au monde, tous secteurs confondus. Elle est la propriété de plus de 90 000 membres regroupés au sein de 103 coopératives réparties dans plusieurs provinces canadiennes.

La Coop fédérée est présente dans l’ensemble de la chaîne agroalimentaire et, en tant que grossiste, elle fournit aux producteurs agricoles des biens et des services nécessaires à l’exploitation de leur entreprise. Son réseau compte cinq bannières : Elite et La Coop (productions animale et végétale et commercialisation des grains), Unimat (quincaillerie et machines agricoles), Sonic (énergie) et Olymel (transformation des viandes). La Coop fédérée emploie plus de 10 000 personnes et son chiffre d’affaires s’élève à 4,6 milliards de dollars.

À propos de Financement agricole Canada

En tant que plus important prêteur à l’industrie agricole canadienne, FAC œuvre pour l’avenir de l’agroindustrie. FAC a un portefeuille de première qualité de 24 milliards de dollars et vient de connaître une dix-neuvième année consécutive de croissance. FAC est solide et stable; elle s’est engagée à servir l’industrie peu importe le cycle économique. FAC offre du financement, de l’assurance, des logiciels, des programmes d’apprentissage ainsi que d’autres services commerciaux aux producteurs, aux agroentrepreneurs et aux entreprises agroalimentaires. Passionné de l’agriculture, le personnel de FAC est voué à la réussite de la clientèle et de l’industrie. Pour obtenir de plus amples renseignements, visitez www.fac.ca.

 

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BC food producers welcome $2-million « buy local » campaign

Building the local market for B.C. foods

VANCOUVER – The B.C. government is investing $2 million to help B.C. farmers and food processors promote local foods, Agriculture Minister Don McRae announced.

The funding will allow local businesses and organizations to launch or expand their own marketing campaigns, so different sectors of B.C.’s diverse food industry can use customized promotions specific to their market and needs. It is anticipated the funding will be particularly helpful to small-scale producers and businesses looking to promote their products.

Businesses and organizations will be able to apply for matching funding from the provincial government for projects that promote local foods. Projects could include in-store promotions, social media or web campaigns, smartphone apps, traditional advertising, on-product labelling and food-tourism maps. Producers, stores, farmers markets, restaurants, processors and industry associations all will be eligible to participate.

Building the local market for B.C. foods is a key commitment of government’s Agrifoods Strategy, a component of the B.C. Jobs Plan, to lead the agrifoods sector growth into a $14-billion-a-year industry by 2017.

Audio clips of McRae speaking on the announcement are available for broadcast at:

 

Minister of Agriculture Don McRae –

« Our government has long-supported local producers of foods and food products by lowering taxes and cutting needless red tape. Today we’re taking the next step in promoting local foods by supporting industry-led marketing campaigns. B.C.’s diverse food producers were clear in their message to government that they want the freedom to promote their products as they see best, without the restrictions of a one-size-fits-all Buy BC-type program. »

« This funding will support about 50 different campaigns throughout our province, and each one will celebrate and promote the distinct flavours of local products while at the same time increasing business opportunities and growth for B.C.’s 61,000-employee agrifoods sector. »

BC Agriculture Council chair, Rhonda Driediger –

« More British Columbians want to access local food, but do not always know how to find it. This program will encourage innovative communication tools to creatively market B.C. agriculture and food products, helping people access fresh and healthy local foods while building the market for B.C. producers. »

 

Promoting B.C. Foods

Of the $2 million, $1.5 million will be administered by the Investment Agriculture Foundation and $500,000 will be administered by the British Columbia Agriculture Council.

Applications for either fund will be reviewed by an Industry Advisory Committee consisting of representatives from B.C.’s diverse farming, manufacturing, seafood, restaurant and retail sector. Final approval will come from a panel with representation from the Ministry of Agriculture, the B.C. Agriculture Council and the Investment Agriculture Foundation.

Applications and program information will be posted at:www.gov.bc.ca/agri/buylocal.html

BC Association of Farmers’ Markets president, Jon Bell –

« The last ten years have seen a huge rise in the popularity of farmers’ markets and the demand for local foods throughout our province. The support for B.C.’s more than 125 farmers’ markets to further their unique relationships with their customers is great news, and will build on the momentum and appreciation B.C. consumers have for fresh and local foods. »

BC Food Processors Association president, Dave Eto –

« We welcome this initiative. Not only will it create value for our small-scale members, but it will also help food manufacturers and retailers access opportunities to stimulate market growth, while helping to educate consumers on the origin of their food. »

BC Restaurant & Foodservices Association president and CEO Ian Tostenson –

« The trend towards local is not just a trend – it is a necessary component to a healthy economy and healthy living. These projects will help B.C. restaurants promote our high quality chefs and high quality foods, and help meet our customers increasing interest and enjoyment of B.C. foods. »

BC Seafood Alliance, executive director, Christina Burridge –

« British Columbia is blessed with a wealth of sustainable seafood resources. Commercial fishermen support this program to identify and promote local food products and look forward to participating. »

British Columbia Wine Institute executive director, Miles Prodan –

« This program presents wonderful opportunities for B.C. wineries to increase the awareness about BC VQA wines, their award winning tastes, and the community benefits from purchasing a guaranteed 100 per cent B.C. wine. »

Retail Council of Canada vice-president of sustainability, Allen Langdon –

« We applaud the government for providing this marketing support, which will reinforce our efforts to promote locally grown products. Retailers in B.C. and all across Canada make enormous contributions to their local economies, and remain committed to working with B.C. growers and producers. This is a win-win for everyone involved. »

Small Scale Food Processors Association, executive director, Candice Appleby –

« Our members produce an incredible range of foods that are enjoyed by consumers who appreciate attention to flavouring and artisan quality. Our customers are very supportive of local foods and businesses and this program offers small-scale processors the opportunity to personally connect with them to promote their products. »

Contact:

Robert Boelens
Communications
Ministry of Agriculture
250 356-7098

Selon une récente étude, l’industrie canadienne du bœuf serait sur le point de basculer

Industrie du boeuf précaire

Photo: Dukemeiser sur Wikipedia

OTTAWA, le 10 sept. 2012 /CNW/ – Une nouvelle étude publiée par l’Institut canadien des politiques agro-alimentaires (ICPA) révèle que l’industrie canadienne du bœuf est dans un état d’extrême précarité et que des mesures correctrices s’imposent pour que les producteurs et les intervenants de ce secteur puissent en tirer le maximum d’avantages, et que cette industrie devienne un fournisseur fiable face aux attentes croissantes d’un monde en quête de ce type de protéines.

« L’industrie  canadienne du bœuf accuse du retard et les occasions s’effritent à cause d’un manque de collaboration, » d’affirmer David McInnes, Président et chef de la direction de l’ICPA. « Les données et les entrevues démontrent que notre industrie du bœuf est dépourvue d’une stratégie globale lui permettant de répondre aux défis et de profiter des occasions importantes qui s’ouvrent à elle. »

Récupérer le marché intérieur

L’étude fait valoir que le Canada, malgré tous ses avantages liés à sa situation géographique, à la qualité et à sa capacité de production, risque de devenir un importateur net de bœuf. Le cycle bovin connaît présentement une baisse de production et il n’existe aucune stratégie évidente pour récupérer une part intéressante du marché intérieur.

À l’exportation, l’industrie canadienne compte de façon indue sur un seul marché, les USA, marché qui compte pour 85% du commerce canadien du bœuf et du bovin. La bonne nouvelle est que les USA génèrent pour $1.8 milliard des ventes totales canadiennes (des exportations de près de $1 milliard de bœuf et $800 millions de bovins). La mauvaise nouvelle est que le Canada « remblaye » le marché des USA, c’est à dire qu’en tirant partie de l’approvisionnement canadien en bovins et bœuf, l’industrie du bœuf américaine augmente ses propres exportations et profite de marges de profit et de valeurs supérieures. Et l’industrie canadienne ne semble guère se soucier de cet état de chose.

Mais l’étude précise qu’il ne faut pas blâmer le gouvernement. Quand les producteurs bovins et l’industrie du bœuf ont eu besoin de soutien, comme ce fut le cas après la crise de ESB, les gouvernements fédéral et provinciaux ont répondu à l’appel. Et le gouvernement canadien fait un travail admirable en ouvrant de nouveaux marchés étrangers mais malgré tout, l’industrie du bœuf n’en fait pas suffisamment pour augmenter les ventes, améliorer les prix et augmenter les marges de profit. L’industrie devra ultimement se doter d’une stratégie. Les gouvernements peuvent ensuite soutenir l’élaboration de véritables stratégies et axer leur appui financier sur les priorités qui en découlent.

Intérêt pour une nouvelle approche

« Dans le secteur du bœuf, un regain d’intérêt semble maintenant se manifester quant à la nécessité d’adopter une nouvelle approche, » de dire McInnes. « On réalise de plus en plus que nous ne pouvons optimiser les marchés intérieur, américain et étrangers au rythme où nous exportons le bœuf et les bovins aux USA. Ou bien nous acceptons de demeurer un fournisseur de « remblayage » au marché américain – avec ses conséquences et avantages – ou nous prenons une décision stratégique déterminante concernant les marchés où nous pouvons performer à notre pleine mesure. Cela suppose d’augmenter la part du bœuf canadien dans notre marché intérieur, de prendre plein avantage des marchés étrangers clés de grande importance, et de tirer encore plus de valeur de l’important marché américain. »

Les consommateurs veulent de l’information!

L’étude a aussi souligné que la réponse aux désirs du consommateur est insuffisante.   De nos jours, les consommateurs veulent plus d’information, y compris plus de renseignements sur les pratiques de production, la valeur nutritive  ainsi que son empreinte écologique.  Pourtant, l’industrie canadienne du bœuf n’arrive pas à bien faire passer un message qui réponde aux enjeux et préoccupations ou encourage la consommation de bœuf.

Le rapport de l’ICPA trace un plan directeur qui remettra l’industrie canadienne sur la voie d’un succès progressif.  Le rapport invite l’industrie à se doter d’une stratégie complète et solide, basée sur l’implication active de tous les maillons de la chaîne d’approvisionnement du bœuf.  Le rapport  déclare que l’information – y compris de l’information sur le commerce, la production et la qualité qui transite aisément des producteurs aux transformateurs, des détaillants aux consommateurs, et de l’information qui différencie le bœuf canadien de la concurrence étrangère –  et peut ainsi jouer un rôle important  dans l’élaboration d’une stratégie.

Le rapport de l’ICPA met aussi l’accent sur l’importance d’impliquer d’autres intervenants du système alimentaire tels ceux des milieux de la santé, de l’environnement, de la recherche, de l’innovation et autres afin d’aider à répondre aux besoins du consommateur.  Enfin, le rapport précise qu’il faudra des champions pour mener à terme une stratégie réussie, des gens qui mobiliseront les acteurs clés et établiront des objectifs précis.

« Par le passé, face aux défis, l’industrie canadienne du bœuf a su se rallier, collaborer et les relever avec vigueur, » de conclure McInnes.  « Notre rapport prétend, et plusieurs intervenants clés abondent dans ce sens,  qu’à l’aide d’une solide stratégie, d’un engagement à travailler ensemble et d’une discipline d’exécution efficace – l’industrie canadienne du bœuf saura, encore une fois, être à la hauteur et livrer les avantages attendus des producteurs, des intervenants et des consommateurs au Canada et à l’étranger.  L’industrie doit visualiser ce qui est de l’ordre du possible pour ensuite concevoir une stratégie qui lui permettra de se rendre à destination. »

L’ICPA a interviewé plus de 80 intervenants du secteur du bœuf  et d’autres secteurs connexes  à l’automne de 2011.  Il a aussi mené une importante campagne de consultation en 2012.  L’ICPA a pu entreprendre cette étude grâce au financement de la Alberta Livestock and Meat Agency (ALMA), de la Banque Royale du Canada (RBC) et du Saskatchewan Ministry of Agriculture.

À propos de l’ICPA

L’Institut canadien des politiques agro-alimentaires (ICPA) est un forum indépendant et impartial qui œuvre pour la réussite du secteur agricole et agroalimentaire canadien. L’ICPA est un catalyseur. Il identifie les nouveaux enjeux, favorise le dialogue et présente des options de solutions aux enjeux de concert avec les intervenants des diverses chaînes d’approvisionnement agroalimentaires ainsi qu’avec d’autres intervenants du milieu alimentaire. L’ICPA, dont le siège social est situé à Ottawa, a été constitué en société sans but lucratif en 2004 par le gouvernement fédéral et est dirigé par un conseil d’administration, dont les membres sont issus de divers milieux, appuyé par un comité consultatif.

Données clés du rapport de l’ICPA

1. Importance du secteur du bœuf L’industrie canadienne du bœuf génère $6 milliards en ventes à la ferme (2011), soit quelque 15% de la valeur de la production agricole.
2. Balance commerciale du bœuf à la baisse En 2011, la balance commerciale du Canada, en termes de valeur, était de $42 millions, alors qu’elle était de $1,4 milliard en 2002.
3. Approvisionnement intérieur du bœuf Le Canada fournit quelque 75% du bœuf dans son propre marché.  Ce chiffre est moindre que les 87% de 2005 à cause de la hausse des importations provenant des USA.
4. Différences de la valeur du commerce du bœuf
Canada – USA
Les exportations de bœuf du Canada vers les USA comptent pour seulement 60% de la valeur du bœuf exporté des USA vers le Canada. En 2011, les exportations de bœuf du Canada vers les USA se chiffraient à une moyenne de $3,74/kg, alors que le prix moyen des importations des USA était de $6,55/kg.
5. Exportations de bœuf des USA ailleurs qu’au Canada vs. Exportations de bœuf du Canada ailleurs qu’aux USA Les exportations de bœuf des USA ailleurs qu’au Canada sont en hausse de 280% depuis 2005, alors que les exportations du Canada ailleurs qu’aux USA sont en hausse de 45%.  Depuis 2002, les exportations du Canada ailleurs qu’aux USA étaient en baisse de 3,5% alors que l’industrie du bœuf des USA a augmenté de 51% ses exportations vers les marchés internationaux (excluant les envois au Canada).
6. Importance du marché américain En moyenne, 85% des exportations de bœuf et de bovins sur pied sont destinés à un seul marché, celui des USA.  Pour une moyenne quinquennale (2007-2011), les ventes canadiennes de bœuf et bovins  aux USA se chiffraient à quelque $2,2 milliards (pour un total combiné de $1,8 milliard en 2011).
7. Diversification des marchés d’exportation En 2011, 74% des exportations de bœuf du Canada allaient vers les USA, ce qui représente 72% de la valeur totale des exportations de bœuf canadiennes.  En 2002, 78% des exportations de bœuf  (quantité) du Canada allaient vers les USA, soit 83% de la valeur totale.
8. Cheptel bovin du Canada Le cheptel bovin du Canada a diminué de 1 million de têtes, soit 20% depuis 2005.
9. Consommation de bœuf  (Canada) La consommation per capita a baissé de 10,7% depuis 2001 et se chiffre maintenant à 27,5 kg/per capita (en carcasse équivalente).  La consommation de porc sur la même période a baissé de 28% alors que celle de la volaille (poulet, poule et dinde) a augmenté de 3,4%.
10. Consommation de bœuf (mondiale) La consommation globale de volaille a augmenté de 10,3% au cours des trois dernières années (2008-2011) alors que celle du bœuf a baissé de 3,5%.  Parmi les pays de l’OCDE, la consommation du bœuf est à la baisse.  Mais dans les pays non membres de l’OCDE, cette consommation est à la hausse.

www.capi-icpa.ca
ICPA blog

Les gouvernements du Canada et du Québec octroient 300 000 $ à l’entreprise Foin Saint-Laurent Inc.

Projet d’usine de séchage et de conditionnement du foin

Balle ronde FoinQuébec (Québec), le 23 juillet 2012 – Le ministre de l’Industrie et d’État (Agriculture), M. Christian Paradis et le député de Rivière-du-Loup et adjoint parlementaire au ministre des Ressources naturelles et de la Faune, M. Jean D’Amour, au nom du ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation et ministre responsable des régions de l’Abitibi-Témiscamingue et du Nord-du-Québec et député d’Abitibi-Est, M. Pierre Corbeil, sont heureux d’annoncer, un soutien financier de 300 000 dollars à l’entreprise Foin Saint-Laurent Inc. pour la réalisation de son projet d’usine de séchage et de conditionnement du foin. Cette aide est accordée dans le cadre du Programme de soutien aux stratégies sectorielles de développement associé au fonds Agri-flexibilité d’Agriculture et Agroalimentaire Canada.

Cette entreprise, installée à Cacouna depuis 2002, produit et commercialise du foin au Canada et sur les marchés d’exportations, notamment aux États-Unis, en Angleterre, en Irlande, en Russie et en Arabie Saoudite. Le nouveau projet d’usine de séchage et de conditionnement du foin permettra à Foin Saint-Laurent de travailler avec les variables du climat québécois et d’améliorer la qualité de son produit.

« Grâce à l’acquisition d’équipements spécialisés pour la production de foin sec, les producteurs de toute la région seront dorénavant en mesure de conserver leurs marchés et même de les voir s’accroître ici comme à l’étranger. L’appui gouvernemental à ce projet permettra aux producteurs de plantes fourragères d’augmenter leurs revenus et contribuera à la vitalité économique de la région », a déclaré le ministre Paradis.

« Il s’agit d’un secteur très prometteur puisque plusieurs marchés d’exportation sont présentement en déficit. L’ensemble de ce projet sera donc porteur pour l’entreprise, mais aussi pour la région qui en goûtera les retombées », a indiqué M. D’Amour.

« Il est important de soutenir l’innovation et le développement des entreprises agricoles de chez nous afin que le Québec devienne un leader mondial dans le secteur des plantes fourragères, autant que dans les autres secteurs. C’est également l’objectif que l’on poursuit avec le livre vert pour une politique bioalimentaire », a fait valoir le ministre Corbeil.

La mise en place d’usines de séchage et de conditionnement du foin permettra d’une part d’augmenter la production et la présence des produits du Québec sur les marchés d’exportation et d’autre part, d’accroître la capacité concurrentielle des entreprises de chez-nous.

Signalons que le secteur des plantes fourragères constitue un levier important pour les élevages bovins et ovins du Québec.

  • Près de 63 % des entreprises agricoles québécoises produisent des plantes fourragères.
  • En 2011, leur superficie représentait environ 57 % des quelques deux millions d’hectares en grandes cultures.
  • La production annuelle québécoise de fourrages oscille aux alentours de 6 millions de tonnes,
  • Pour une valeur approximative de 780 millions de dollars.

Le soutien financier accordé pour la réalisation du projet provient du Programme de soutien aux stratégies sectorielles de développement. Ce programme à coûts partagés, associé au fonds Agri-flexibilité d’Agriculture et Agroalimentaire Canada, dans le cadre du Plan d’action économique du Canada, vise à stimuler le développement et à renforcer la coordination des secteurs d’activités bioalimentaires dans un contexte d’affaires hautement concurrentiel et en constante mutation. L’allocation d’un budget de 16,7 millions de dollars a été annoncée en mars 2011 pour appuyer la mise en œuvre de ce programme.

Le gouvernement du Canada investit dans des technologies de lutte antiparasitaire écologiques

Les agriculteurs auront des renseignements à portée de la main grâce à des applications de pointe

Vancouver Colombie-Britannique), le 26 juillet 2012 – De nouvelles technologies de lutte antiparasitaire sans fil donneront aux agriculteurs un accès immédiat à des renseignements sur la présence d’insectes dans leurs cultures, ce qui leur permettra d’utiliser plus efficacement les biopesticides et de réduire leurs coûts de surveillance manuelle. L’honorable James Moore, ministre du Patrimoine canadien et député de Port Moody-Westwood-Port Coquitlam, a annoncé aujourd’hui un investissement de plus de 485 000 $ dans l’entreprise SemiosBIO Technologies Inc. (SemiosBIO) pour créer trois applications à valeur ajoutée afin d’aider les agriculteurs à améliorer leurs méthodes de lutte antiparasitaire.

« La priorité absolue de notre gouvernement demeure l’économie, et il est essentiel d’investir dans l’innovation pour veiller à ce que notre économie reste vigoureuse pour de nombreuses années à venir », a dit le ministre Moore. « Ce projet aidera les agriculteurs à employer de nouvelles technologies novatrices pour lutter contre les parasites, à améliorer les cultures et à devenir plus prospères. Cet investissement est une excellente nouvelle pour les agriculteurs ainsi que pour l’économie de la Colombie-Britannique. »

L’entreprise SemiosBIO élaborera et mettra à l’essai un système de surveillance des phéromones pour lutter contre les parasites en utilisant la méthode de confusion sexuelle, un piège muni d’une caméra pour surveiller les changements dans la population d’insectes, et un logiciel pour enregistrer l’information. Cette technologie novatrice améliorera les méthodes de lutte antiparasitaire en permettant aux agriculteurs de surveiller leurs cultures et vergers pour détecter la présence d’insectes et de prendre des mesures immédiates et ciblées au moyen de biopesticides, comme des phéromones, ou de pesticides traditionnels au besoin.

« SemiosBIO est reconnaissante du soutien financier qu’elle recevra du gouvernement du Canada », a déclaré M. Michael Gilbert, président et directeur scientifique de SemiosBIO Technologies Inc. « Nos innovations permettront aux agriculteurs d’adopter des solutions de rechange efficientes et durables au chapitre de la lutte antiparasitaire et accroîtront leur capacité de surveillance précise et de tenue de dossiers. »

Les nouvelles technologies réduiront le coût de la main-d’oeuvre et amélioreront l’efficience, la productivité, la gestion des cultures et l’agriculture biologique. Elles aideront les agriculteurs à répondre à la demande croissante des consommateurs et aux exigences réglementaires en ce qui a trait aux solutions de lutte antiparasitaire efficientes et efficaces. Une meilleure gestion des dossiers aidera aussi à ouvrir de nouveaux marchés pour les cultures canadiennes.

Ce projet est financé par le Programme d’innovation en agriculture, une initiative de 50 millions de dollars annoncée dans le cadre du Plan d’action économique du Canada de 2011. Ce programme fait partie de l’engagement du gouvernement à aider les producteurs canadiens à tirer profit de la science et de la technologie d’avant-garde. Il stimule la mise au point et la commercialisation de produits, de technologies et de procédés nouveaux et innovateurs dans le secteur agricole. Pour de plus amples renseignements sur le Programme d’innovation en agriculture et sur d’autres programmes d’Agriculture et Agroalimentaire Canada, veuillez consulter le site www.agr.gc.ca.

Engagement d’EDC de 7,5 millions de dollars dans un fonds de capital-risque destiné aux entreprises canadiennes du secteur agroalimentaire

Légumes

OTTAWA, le 26 juill. 2012 /CNW/ – Exportation et développement Canada (EDC) a annoncé aujourd’hui son engagement à investir jusqu’à 7,5 millions de dollars canadiens dans Avrio Ventures Limited Partnership II (Avrio II), fonds de capital-risque qui investit dans des entreprises novatrices du secteur agroalimentaire offrant des solutions aux défis mondiaux dans les domaines de la santé, du bien-être et de la viabilité.

Le fonds Avrio II ciblera les entreprises canadiennes de sous-secteurs lucratifs et à créneaux comme ceux de l’agriculture de pointe, des bioproduits industriels, de la biotechnologie agricole, des biens naturels et biologiques emballés pour la vente au détail, des ingrédients renouvelables, de la salubrité alimentaire et des aliments fonctionnels.

« EDC croit que le secteur canadien de l’agroalimentaire est porteur d’un potentiel, notamment l’agriculture de pointe, les aliments biologiques, les aliments nutraceutiques et fonctionnels. Consciente de l’avantage concurrentiel dont disposent les entreprises canadiennes du secteur, la Société décèle de nombreuses applications sur les marchés émergents en forte croissance », estime Alison Nankivell, directrice responsable des investissements, Placements dans des fonds, EDC.

Parmi les participants au fonds Avrio I en 2006, EDC avait réalisé un investissement de 6 millions de dollars canadiens.

« Avrio et EDC font équipe pour favoriser l’accès aux marchés étrangers par les entreprises de leur portefeuille au moyen de présentations ciblées aux grandes multinationales étrangères qui entretiennent des relations avec EDC », affirme Justine Hendricks, vice-présidente, Ressources et Industrie légère, EDC.

« À ses cinq premières années, le premier fonds Avrio avait permis de porter de moins de 10 millions de dollars canadiens à 50 millions de dollars canadiens le chiffre annuel des exportations liées au portefeuille, soit une hausse de 400 %. Il appuiera solidement les bilans des entreprises bénéficiaires en plus de favoriser l’essor du commerce extérieur du Canada. »

Le Programme d’investissement d’EDC met l’accent sur deux groupes d’entreprises : les PME qui veulent prendre de l’expansion grâce à l’exportation, et les exportateurs de la « nouvelle génération », autrement dit, les entreprises technologiques mondiales par nature en raison de leur produit, mais qui ont besoin d’aide et de capital pour se développer. Comme les deux groupes d’entreprises éprouvent des difficultés sur le plan du financement et de l’expérience, et sont mal implantés dans les réseaux, la Société les aide à combler ces lacunes grâce à sa participation, à titre de partenaire, dans des structures de fonds d’actions gérés par des acteurs commerciaux expérimentés.

Au 31 décembre 2011, les placements répartis sur la durée du Programme du capital-actions d’EDC ont totalisé 694 millions de dollars canadiens en engagements, dont 320 millions de dollars canadiens en engagements envers les exportateurs de la nouvelle génération, 120 millions de dollars canadiens en engagements pour les exportateurs du marché intermédiaire et 254 millions de dollars canadiens en engagements axés sur les liens à établir avec les marchés émergents.

Organisme de crédit à l’exportation du Canada, EDC offre des solutions commerciales novatrices pour aider les exportateurs et les investisseurs canadiens à réussir sur les marchés mondiaux. Chaque année, plus de 7 700 entreprises canadiennes et leurs clients étrangers tirent profit de ses connaissances et de ses partenariats pour faire des affaires sur environ 200 marchés. EDC, société financièrement autonome, est un chef de file reconnu dans l’établissement de rapports financiers et l’analyse économique.

SOURCE : Exportation et développement Canada

Le gouvernement du Québec accorde 610 000 dollars aux Fêtes de la Nouvelle-France


QUÉBEC, le 11 juill. 2012 /CNW Telbec/ – Le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation, ministre responsable des régions de l’Abitibi-Témiscamingue et du Nord-du-Québec et député d’Abitibi-Est, M. Pierre Corbeil, est fier d’annoncer, au nom du gouvernement du Québec, une contribution financière de 610 000 dollars à l’édition 2012 des Fêtes de la Nouvelle-France.

Se déroulant principalement dans le Vieux-Québec, les Fêtes de la Nouvelle-France représentent un rendez-vous à caractère historique et populaire mettant en valeur le riche patrimoine d’origine française de Québec. Les activités et divertissements qui sont proposés aux festivaliers contribuent à faire revivre cette riche époque que représente la Nouvelle-France.

Un rendez-vous avec l’histoire

« Les Fêtes de la Nouvelle-France permettent de faire découvrir aux visiteurs d’ici et d’ailleurs une page importante de notre histoire. En plus d’attirer de nombreux visiteurs dans la région, cet événement estival majeur pour la Capitale-Nationale permet d’engendrer des retombées économiques importantes. De plus, grâce à ce rendez-vous avec l’histoire, Québec développe au fil des ans une expertise en événementiel qui donne à la ville un caractère unique et une réputation enviable tant au plan national qu’international », a affirmé la ministre Nicole Ménard.

Une vitrine pour les produits agroalimentaires québécois

« J’invite les Québécoises et les Québécois, ainsi que tous les gens qui sont de passage dans la région, à venir visiter le marché public qui mettra en valeur de façon originale la diversité et la qualité des produits de chez nous. Ce sera le moment idéal de faire découvrir aux visiteurs la multitude de produits délicieux cultivés ou transformés par des gens d’ici, et ce, dans cet endroit convivial et chaleureux qu’est Québec », a mentionné M. Corbeil.

Une expérience culturelle unique

« Le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine est fier de s’engager dans cet événement qui fait revivre la culture et l’histoire au temps de la Nouvelle-France. Costumes, musique, expériences gastronomiques étonnantes, spectacles hauts en couleurs, les citoyens de Québec et les visiteurs se verront offrir un menu d’activités et d’événements des plus festifs », a fait savoir, la ministre Christine St-Pierre.

Répartition de la contribution financière gouvernementale

  • Le Bureau de la Capitale-Nationale accorde un montant de 200 000 dollars consenti dans le cadre du Fonds de développement économique de la région de la Capitale-Nationale
  • Le ministère du Tourisme accorde une somme de 150 000 dollars issue du Programme de soutien au développement et à la promotion touristiques – volet aide financière aux festivals et aux événements
  • Le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine verse un montant de 110 000 dollars provenant du programme Aide aux initiatives de partenariat et
  • Le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation verse 150 000 dollars pour le Marché Aliments du Québec qui mettra en vedette les produits du Québec tout en soutenant la campagne de promotion « Aliments du Québec : toujours le bon choix! ».

Marché Aliments du Québec

La Place de Paris, où se trouvera le Marché Aliments du Québec, sera donc encore une fois un carrefour de saveurs, d’accueil et de partage. Une quinzaine de producteurs du Québec déploieront leur talent et leur savoir-faire pour séduire les visiteurs. Ceux-ci pourront notamment assister à des démonstrations culinaires faisant valoir des aliments de chez nous et déguster, pour quelques dollars seulement, des mets spécialement apprêtés pour eux.

Les Fêtes de la Nouvelle-France représentent une belle occasion de nous imprégner de nos origines. D’hier à aujourd’hui, les familles de producteurs agricoles et de transformateurs alimentaires n’ont cessé d’occuper une place primordiale dans notre vie sociale et économique.

« Choisir les aliments québécois est un geste gagnant sur tous les plans : pour l’économie, pour les travailleurs d’ici et pour l’essor des régions. J’encourage donc les gens à faire toujours le bon choix avec les aliments du Québec », a ajouté le ministre Corbeil.

Tout en se délectant des aliments et des mets québécois proposés, les participants auront également le plaisir de se plonger au cœur des premières années de la fondation de la ville de Québec, alors que le Vieux-Québec redeviendra pour quelques jours le territoire des premiers arrivants européens en terre d’Amérique. Mentionnons que les Fêtes de la Nouvelle-France se tiendront du 1er au 5 août 2012, dans l’arrondissement historique du Vieux-Québec. Pour de plus amples renseignements, visitez le site Internet de l’activité à l’adresse électronique suivante : www.nouvellefrance.qc.ca.

La campagne de promotion « Aliments du Québec : toujours le bon choix! »

Rappelons que le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation a mis sur pied la campagne « Aliments du Québec : toujours le bon choix! » qui vise à rappeler aux consommateurs et aux entreprises bioalimentaires que l’achat et l’offre de produits alimentaires québécois constituent toujours le bon choix sur les plans individuel, social et économique.

Pour découvrir plus de 14 000 produits québécois certifiés « Aliments du Québec » ou « Aliments préparés au Québec », visitez le site Internet www.alimentsduquebec.com.

Carrefour Québec International reçoit 1 233 000$ pour soutenir les stratégies des PME à l’étranger

Drummondville (Québec), le 16 juillet 2012 — Carrefour Québec International (CQI), l’organisme régional de promotions des exportations, s’est vu accorder aujourd’hui une contribution financière non remboursable d’un montant de 1 233 000 $ de Développement économique Canada. Cette contribution permettra à l’organisme de continuer son travail auprès des PME des régions du Centre-du-Québec, de l’Estrie et de la Mauricie, qui cherchent à diversifier leurs marchés à l’étranger en se dotant d’une stratégie de commercialisation.

Durant l’année financière 2011-2012, l’équipe de CQI a réalisé 805 interventions auprès de 215 entreprises des trois régions. 369 personnes, provenant de 222 entreprises différentes, ont participé au moins à une des 29 activités et formations organisées par l’organisme. Ces résultats dépassent les objectifs fixés par CQI et ses partenaires. D’ailleurs, d’après un sondage mené par CQI, les entreprises qui ont reçu l’accompagnement service-conseil de CQI ont réalisé, durant cette période, de ventes de plus de 51 M$ sur des marchés extérieurs, et projettent d’en faire pour près de 69 M$ dans un futur rapproché. C’est ainsi que CQI contribue à créer de la richesse dans notre milieu.

 « CQI a la chance de pouvoir compter sur une équipe dynamique et professionnelle qui a à cœur la réussite des entreprises de nos régions desservies. Nous sommes fiers de pouvoir continuer à travailler avec nos entreprises et de pouvoir compter sur un partenaire de choix tel que Développement économique Canada », a souligné Catherine Gervais, directrice générale de Carrefour Québec International.

Une deuxième contribution non remboursable de 144 985 $ lui a été accordée dans le but de réaliser un projet pilote visant offrir aux PME du Centre-du-Québec des services spécialisés en matière d’innovation.

« Les contributions que nous recevons du gouvernement du Canada nous permettront de bonifier notre offre de services pour répondre aux besoins des PME exportatrices des trois régions. Et, en ce qui concerne le volet innovation au Centre-du-Québec, offrir des services spécialisés sur trois grands axes soit : la culture de l’innovation, la gestion de l’innovation et la capacité de l’innovation par le biais des services-conseils; l’accompagnement; le référencement auprès de spécialistes partenaires, et la réalisation d’activités visant à promouvoir l’innovation », a expliqué Fabrice Canin, administrateur au sein du Conseil d’administration de Carrefour Québec International et membre du Comité en innovation au Centre-du-Québec.

« Je suis très heureux d’appuyer les entreprises dans leurs projets d’innovation. J’ai déjà rencontré plusieurs d’entre elles et les questions sont nombreuses. Ça me fait plaisir de les outiller afin qu’elles réussissent les projets qu’elles entreprennent », a exprimé Luc Constant, coordonnateur à l’innovation chez Carrefour Québec International.

L’annonce a eu lieu dans les locaux de Derco Horticulture inc., une entreprise située à Saint-Germain-de-Grantham, qui d’ailleurs est accompagnée par CQI depuis quelques mois dans ses démarches à l’international et dans le cadre du service régional en innovation.

Carrefour Québec International et Derco Horticulture

Monsieur Fabrice Canin, administrateur de Carrefour Québec International; Monsieur Jacques Gourde, député de Lotbinière-Chutes-de-la-Chaudière et représentant de l’honorable Denis Lebel, et Monsieur Yvon Ferland, président de Derco Horticulture inc.

 

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