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Mme Marie-Pierre Dubeau et M. Sébastien Grandmont, lauréats du Prix de la relève agricole 2017

QUÉBEC, le 20 oct. 2017 /CNW Telbec/ – Aujourd’hui, au cours de la cérémonie nationale de l’Ordre national du mérite agricole, qui se déroulait à l’Assemblée nationale, le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation, M. Laurent Lessard, a décerné le Prix de la relève agricole 2017 à Mme Marie-Pierre Dubeau et à M. Sébastien Grandmont de l’entreprise Le Petit Mas, […]

Les 3 jeunes frères Peterson: des agriculteurs vedettes sur YouTube!

Vous connaissez les Peterson brothers?

Trois jeunes agriculteurs qui publient des lipdub (vidéos avec lipsync) pour faire la promotion de leur métier et surtout démontrer que l’agriculture est:

  • intense
  • passionnelle
  • incontournable
  • nécessaire
  • « in »

Leur premier succès publié le 25 juin 2012, I’m Farming and I Grow It, a récolté près de 8 millions de visionnements.

Depuis, ils ont publié des vidéos sur les travaux de la ferme, des bloopers et bien plus. Chansons, lipdub, slam, poésie, humour, vidéos pédagogiques… Tous les moyens sont bons. Ils ont bénéficié d’une couverture nationale dans les médias et ont été invités à performer « live ».

Leur dernier succès, Farmer Style, a aussi récolté plus de 8,5 millions de visionnements mais en moins d’une semaine cette fois-ci.

Quoi?

Vous ne les connaissez pas?

Qu’attendez-vous?

Abonnez-vous à leur chaîne YouTube et recevez les nouveaux vidéos dans votre boîte courriel!

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Accaparement des terres : Un outil novateur pour conserver nos terres agricoles et favoriser la relève

Dans un deuxième rapport sur le phénomène d’accaparement des terres agricoles rendu public aujourd’hui, l’Institut de recherche en économie contemporaine (IRÉC) propose la création d’une Société d’aménagement et de développement agricole du Québec (SADAQ) comme réponse à l’intérêt croissant des investisseurs privés pour notre patrimoine agricole.
Reportage « L’achat massif de terres agricoles au Lac Saint-Jean soulève des inquiétudes » – achat massif de terres au Saguenay-Lac-St-Jean – Radio-Canada

« Le Québec dispose de tous les moyens nécessaires pour mettre de l’avant un dispositif comme la SADAQ. En phase avec l’histoire des institutions québécoises et profondément ancrée dans un modèle agricole qui a fait ses preuves, cette Société aurait les atouts nécessaires pour appuyer le développement de notre agriculture », a déclaré M. Robert Laplante, directeur de l’IRÉC.

« Nos lois et règlements actuels visant à protéger le territoire agricole ne suffiront pas à stopper un phénomène mondial comme l’accaparement des terres. Le Québec n’est pas isolé du reste du monde et plusieurs acteurs financiers privés se positionnent déjà dans le marché des actifs fonciers québécois. Il faut agir maintenant », a pour sa part commenté le président général de l’Union des producteurs agricoles, M. Marcel Groleau.

Un premier rapport qui secoue le monde agroalimentaire québécois

Rappelons qu’un premier rapport de l’IRÉC, en avril dernier, apportait un éclairage saisissant sur le phénomène d’accaparement des terres agricoles en identifiant, notamment, les pratiques spéculatives de plusieurs acteurs financiers comme un des facteurs pouvant expliquer cette explosion de transactions foncières dans le monde.Ainsi, la crise financière de 2008 aurait généré les conditions pour une véritable « ruée » vers les terres, considérée comme une valeur refuge par les gestionnaires de fonds en temps de crise. Là se situe l’origine véritable du phénomène et c’est de cette façon que le Québec sera éventuellement entraîné dans la tourmente si rien n’est fait, plusieurs acteurs financiers privés se positionnant déjà dans le marché des actifs fonciers au Québec. Des sociétés de gestion de portefeuille ont d’ores et déjà commencé à acquérir des fermes et des terres à un rythme qui pourrait bien s’accélérer au cours des prochaines années.

Un deuxième rapport proposant une réponse institutionnelle forte : la SADAQ

Dans son deuxième rapport, l’IRÉC confirme que la financiarisation du secteur agricole est susceptible d’entraîner des conséquences de longue portée sur le modèle agricole québécois. La dévitalisation des communautés, la réduction du métier de producteur à destâches d’exécution, la marginalisation des fermes de petite et moyenne tailles et l’hyperspécialisation des productions constituent autant d’effets néfastes pour un modèle d’agriculture qui a jusqu’ici conjugué économie et choix d’occupation du territoire.Devant de telles menaces, le laisser-faire ne peut être une politique.

Des expériences étrangères, notamment le modèle français des Sociétés d’aménagement foncier et d’établissement rural (SAFER), ont prouvé leur efficacité et peuvent inspirer. La situation actuelle requiert une réponse cohérente et novatrice visant à défendre l’agriculture de métier, à soutenir la relève québécoise, à mettre en valeur le domaine agricole et à accompagner les communautés dans leurs choix de développement.Pour l’IRÉC, la création d’une SADAQ se veut la pierre d’assise d’une réponse institutionnelle forte.
« Sa mise en place doterait la politique agricole québécoise d’un puissant instrument d’acquisition et de transfert d’établissements, permettant à la fois de freiner la spéculation foncière, de rétribuer correctement les agriculteurs qui vendent leurs fermes au moment du départ à la retraite, de favoriser l’installation d’une relève axée sur l’agriculture de métier et de maintenir la structure d’occupation du territoire », a ajouté M. François L’Italien, chercheur à l’IRÉC et coauteur du rapport.
Pour l’Union des producteurs agricoles, le deuxième rapport de l’IRÉC sur le phénomène d’accaparement des terres agricoles tombe à point.
« Le gouvernement du Québec nous convie à l’adoption d’une première politique québécoise de souveraineté alimentaire. Il s’agit d’un projet emballant et nous y adhérons pleinement. Mais il ne peut se réaliser si nous passons d’une agriculture de propriétaires à une agriculture de locataires », a mentionné Marcel Groleau.
« Les jeunes de la relève sont optimistes et fortement motivés, car le secteur agricole offre de belles perspectives d’avenir, en raison notamment d’une demande mondiale toujours croissante. Mais la hausse exorbitante de la valeur des terres qu’entraîne la spéculation est un frein réel à l’établissement et nous perdrons rapidement des joueurs si le Québec ne s’attaque pas rapidement au phénomène d’accaparement », a continué le président de la Fédération de la relève agricole du Québec, M. Alain Audet.
Le deuxième rapport de l’IRÉC est disponible à la page http://www.irec.net/upload/File/sadaqnovembre2012.pdf

Un terreau fertile pour la relève en agriculture en Estrie

Établissements d’enseignement et acteurs du monde agricole ont uni leurs efforts pour offrir un événement unique dédié à la relève en agriculture à l’occasion de la deuxième édition des Rendez-vous de la relève en agriculture qui se tiendra le 13 novembre prochain à Coaticook.
Pendant une journée, 125 étudiants provenant de diverses institutions d’enseignement en agriculture, intervenants du milieu ainsi que des productrices et producteurs agricoles se réuniront afin d’échanger sur le démarrage ou la reprise d’une entreprise agricole et sur les carrières possibles en agriculture. 

Rencontres express

En une heure, rencontrer des agriculteurs de votre spécialisation, un directeur de compte, un notaire, un conseiller de la financière agricole ou du MAPAQ? C’est possible!  Que ce soit pour préparer un projet d’entreprise, trouver un stage, un emploi, ou encore mieux connaître votre secteur, cette activité est pour vous! Ne laissez pas passer votre chance!

Formations

Aujourd’hui, pour avoir une entreprise agricole rentable et efficiente, il faut être prêt à se perfectionner et à rester au fait des recherches et expériences en cours. Dans le cadre des Rendez-vous de la relève en agriculture, cinq ateliers sont offerts sur des sujets ou des ressources moins connus, mais qui pourraient vous être fort utiles dans le futur!

Détails >

Visites terrain

Fermes laitières, élevages bovins, grandes cultures, productions maraîchères, petits fruits, bio ou non… Profitez d’une visite privilégiée chez des agriculteurs, jeunes et moins jeunes, pour partager avec ces chefs d’entreprises remarquables, leur expérience d’acquisition ou de transfert en passant par leurs bons coups et les pièges à éviter.

  • Serres Lamarche (légumes de serre)
  • Verger le Gros Pierre (production végétale)
  • Ferme VIMO (lait et porc)Groupe Montminy-Roy (lait – relève non apparentée)Ferme Pierre Bolduc enr. (production lait biologique et fromagerie)
  • Ferme Beaudoin et Fils S.E.N.C. (production lait biologique et arbres et arbustes fruitiers)Ferme Couture-Vaillancourt S.E.N.C. (production grandes culture, association propriétaire-employé)
  • Les Vallons Maraîchers inc. (production légumes biologiques)

Dîner réseautage

La MRC de Coaticook est reconnue pour son bassin exceptionnel d’entreprises agroalimentaires. Profitons de cette journée pour goûter à quelques uns de ces produits régionaux! Vous aurez l’occasion de casser la croûte avec les acteurs de monde agricole estrien… et réseauter!

Occasion unique de réseautage étudiants-producteurs-intervenants

« Puisque la clientèle cible de cet événement s’adresse aux élèves inscrits dans un programme en agriculture, le Centre de formation professionnelle de Coaticook, le CRIFA, était un lieu tout indiqué pour reconduire l’évènement à sa deuxième édition. De plus, Coaticook étant la région la plus agricole de l’Estrie, il va sans dire que ce projet trouve écho chez plusieurs intéressé(e)s. », a déclaré le directeur du CRIFA, M. Benoit Rousseau.

Selon le président d’honneur de l’événement et président du Syndicat de la relève agricole de l’Estrie, M. Benoit Simard : « Le concept des Rendez-vous de la relève en agriculture apparaît comme une occasion privilégiée de rencontrer des productrices et des producteurs pour partager leur expérience et démontrer aux élèves qu’il est possible de concrétiser son projet en agriculture. C’est aussi est un excellent complément à une formation en agriculture. » (Pour en savoir plus sur la Fédération de la relève agricole du Québec)

Les collaborateurs

Cet événement régional reçoit l’appui de plusieurs collaborateurs. Parmi eux, les bailleurs de fonds majeurs:

Pour leur contribution à la journée

Pour plus d’informations, consultez le site Internet de l’événement

Ghyslaine Côté Bélanger, agricultrice de l’année 2012!

La Fédération des agricultrices du Québec (FAQ) a tenu le 20 octobre à Drummondville, sa soirée Saturne. Par ce Gala,  la FAQ a commémoré sa 25e année d’existence. Plusieurs anciennes présidentes et lauréates ont assisté à la soirée et c’est avec fierté que tous les convives ont souligné les compétences, la créativité, le courage, l’entrepreneurship, la passion, les réalisations, bref, l’apport inestimable des agricultrices tant par leur présence soutenue à la ferme, que dans leur milieu social et syndical. Des femmes inspirantes et innovatrices, venant de partout au Québec. Parmi ces femmes exceptionnelles, quatre (4) se sont mérité les titres suivants :

Jeune agricultrice

Maryline Côté, jeune agricultrice 2012

Maryline Côté, jeune agricultrice 2012

Dans la catégorie jeune agricultrice, madame Marilyn Côté de la région du Saguenay/Lac-St-Jean. Elle est fière d’être la première relève féminine sur l’entreprise familiale et espère transférer, elle aussi, aux générations futures. Cette jeune agricultrice à un parcours impressionnant et une vision sur l’avenir de l’agriculture qui a conquit les membres du jury.  Elle a les qualités pour assurer la continuité de l’entreprise établie depuis plusieurs générations.

Agricultrice de passion

Johanne Déniel, agricultrice de passion 2012

Johanne Déniel, agricultrice de passion 2012

Dans la catégorie agricultrice de passion, madame Johanne Déniel de Val-Jean, cette agricultrice passionnée par l’agriculture est engagée et déterminée. Elle a su poursuivre son rêve de voir évoluer son entreprise en menant de front le développement de plusieurs  cultures tout en transmettant le goût de l’agriculture dans la collectivité. Elle croit en la promotion de l’agriculture et en la richesse de terres du Québec.

Agricultrice entrepreneure

Ghislaine Delisle, agricultrice entrepreneure 2012

Ghislaine Delisle, agricultrice entrepreneure 2012

Dans la catégorie agricultrice entrepreneure, madame Ghislaine Delisle de la région de St-Hyacinthe. Sa ténacité et son sens des affaires lui ont permis d’améliorer son entreprise à différents niveaux de production en conciliant travail et famille. Ses qualités de gestionnaire l’ont amené à se démarquer dans sa production et à partager ses connaissances et ses expériences auprès d’autres intervenants de différents milieux des affaires. Cette entrepreneure est un pilier puisqu’elle est au cœur de l’essor de son entreprise. Elle a toujours été fière de se présenter comme agricultrice.

Agricultrice de l’année

Ghyslaine Côté Bélanger, agricultrice de l’année 2012

Dans la catégorie agricultrice de l’année, madame Ghyslaine Côté Bélanger de la région de la Beauce, nous dévoile une femme de toutes les batailles. Elle a été impliquée tant dans son entreprise que sur le plan social dans différentes sphères d’activités socio-économique. Inspirante et inspirée, elle a contribué, par son implication à valoriser la profession d’agricultrice. Elle a toujours travaillé à la ferme malgré ses nombreuses activités. Elle a transmis l’amour du métier à la prochaine génération. Cette agricultrice est un modèle de femmes que mérite toute notre reconnaissance. Félicitations aux lauréates 2012.

Aussi, deux bourses de 500 $ chacune furent remises, par La Financière agricole du Québec. Mesdames Marie-Josée Lefebvre de Lanaudière pour la catégorie études professionnelles et Manon Patenaude de Val-Jean pour celle en formation continue.

Agricultrice Coup de coeur, Terre chez nous

Notons que pour souligner le 25e anniversaire de la Fédération, nous avons invité les lecteurs de la Terre de chez nous à voter pour leur candidate coup de cœur lors de la présentation, dans les pages centrales de l’édition du 10 octobre dernier, des textes de présentation de chacune d’entre elle. En une semaine plus de 3400 lecteurs de la TCN ont voté pour la candidate représentant leur coup de cœur, la mention a été remise à été remise à madame Chantal Paradis de la région du Bas-St-Laurent.

Ces quatre grands titres sont remis à chaque année lors de cet événement annuel qui regroupe des personnalités et intervenants de tous les milieux. Notons la présence de MM Marcel Groleau, président général, Pierre Lemieux, 1ervice-président et Denis Bilodeau, 2e vice-président de l’Union des producteurs agricoles, de M. François Gendron, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec ainsi qu’un représentant de La Financière agricole du Québec, tous partenaires de l’événement.

Un court texte décrivant toutes les lauréates est disponible sur notre site Internet (www.agricultrices.com) aux pages des régions respectives.

Lauréates régionales

Région Lauréates régionales
Estrie Sylviane Bégin
Centre-du-Québec Jeannine Chartrand
Saguenay/Lac-St-Jean Marilyn Côté
Beauce Ghyslaine Côté Bélanger
Côte-du-Sud Hélène Couillard
St-Hyacinthe Ghislaine Delisle
Val-Jean Johanne Déniel
Lanaudière Anne-Marie Lavigne
Bas-St-Laurent Chantal Paradis
Mauricie Sylvie St-Arneault

Prix Rosaline Ledoux

Depuis 2009, cette soirée est aussi le couronnement pour le prix de journalisme Rosaline Ledoux assorti d’une bourse de 500 $, offerte par la Banque Nationale, le prix Rosaline Ledoux vise à encourager l’excellence dans la couverture journalistique de la vie des femmes en milieu rural.

Cette année, le prix a été remis à une journaliste du magazine Vita, madame Pascale Navarro, pour un texte vivant, humain et instructif. il montre l’apport original et essentiel des femmes en agriculture.

Notons que cette année, un nombre considérable d’articles a été reçu et le jury avait sélectionné trois finalistes :

Tout journaliste peut déposer un texte écrit dans un journal ou une revue avant le 1ermai de chaque année en le faisant parvenir au bureau de la Fédération des agricultrices du Québec par courriel. Les articles peuvent être reçus tout au long de l’année et ce, jusqu’au 1erjuin.

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La Fédération des agricultrices du Québec compte près de 1000 membres à travers les régions du  Québec.  Sa mission est de représenter, de former, d’informer et de défendre les droits des femmes en agriculture. Elle mise sur cette action pour lancer un message valorisant l’engagement des femmes dans toutes les sphères de leur vie et de la société en général.

Remise des diplômes de l’ITA, campus de Saint-Hyacinthe – BRAVO aux finissants!

Le vice-premier ministre et ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation, M. François Gendron, rend hommage aux étudiants qui ont terminé avec succès leur programme de formation à l’Institut de technologie agroalimentaire (ITA), campus de Saint-Hyacinthe.

Au total, 111 finissantes et finissants ont reçu leur diplôme au cours d’une cérémonie qui s’est déroulée en présence de parents, d’amis et de membres du personnel de l’ITA. Au cours de cette rencontre, le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation a décerné des médailles et des bourses aux diplômés qui ont obtenu les meilleurs résultats scolaires dans les six programmes de l’Institut. La médaille du Gouverneur général du Canada a aussi été remise à cette occasion.

« Le gouvernement du Québec s’est donné comme priorité de favoriser la formation et l’établissement d’une relève agricole indispensable pour le Québec. L’Institut de technologie agroalimentaire, qui célèbre d’ailleurs ses 50 ans d’existence cette année, offre à cette relève de précieux outils et il se révèle donc un tremplin extraordinaire pour ce qui est de se lancer dans ce domaine essentiel à notre société. Je tiens à féliciter tous les nouveaux diplômés. Le Québec a grandement besoin de vous », a fait savoir le vice-premier ministre et ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation.

L’ITA possède des établissements à La Pocatière et à Saint-Hyacinthe. Le campus de Saint-Hyacinthe offre des cours et des activités de formation dans les programmes suivants : gestion et exploitation d’entreprise agricole, technologie des productions animales, technologie du génie agromécanique, technologie de la production horticole et de l’environnement, technologie de la transformation des aliments, ainsi que paysage et commercialisation en horticulture ornementale. Les deux campus de l’ITA sont reconnus pour la qualité de leur enseignement et de leurs installations et ils accueillent environ 1 000 étudiants chaque année. Pour en savoir davantage sur l’Institut, les programmes d’études ou les services offerts aux entreprises, il suffit de consulter le site Internet www.ita.qc.ca.

 

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