archive | Transformation RSS pour cette section

Les lauréats du concours Prix innovation en alimentation 2017 dévoilés !


Le dévoilement des lauréats du concours Prix innovation en alimentation 2017 s’est déroulé le 22 novembre dernier lors du diner gala de L’Événement Marketing organisé par le Conseil de la transformation alimentaire du Québec (CTAQ).

Le concours Prix innovation en alimentation reconnaît les efforts d’entreprises qui ont su, au cours de la dernière année, développer et/ou lancer un projet innovant répondant à différents critères. Le concours est présenté en partenariat avec le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ), la Banque Nationale du CanadaMouvement Desjardins, BDO et TransformAction.

Les lauréats des Prix innovation alimentation 2017 :

Catégorie Produits nouveaux ou améliorés

Catégorie Technologie et Productivité

  • FUMOIR GRIZZLY pour son projet QUALITÉ ET SÉCURITÉ DU SAUMON FUMÉ PAR L’UTILISATION DE BACTÉRIOCINES LACTIQUES.

Catégorie Emballage

À l’occasion de ce concours, le Prix Entreprise Innovante Desjardins a été remis à une entreprise qui s’est particulièrement démarquée par l’ouverture qu’elle a su démontrée ainsi que sa capacité à innover en partenariat avec divers centres de recherches externes. Le lauréat est FUMOIR GRIZZLY.

Finalement, la Banque Nationale a remis le Prix Entrepreneuriat Banque Nationale à une entreprise qui a vécu une belle réussite professionnelle. Le lauréat est Laiterie Chalifoux.

 

 

SOURCE CTAQ (Conseil de la transformation alimentaire du Québec)  www.conseiltaq.com 

Publicité

Ferme du Pré Carré | article sur Paléo Québec

Un bel article sur la Ferme du Pré Carré située à Saint-Jean-Baptiste de Rouville. Ferme du Pré Carré | Paléo Québec. Yannick Hamelin le proprio est le mieux placé pour décrire l’expérience Ferme du Pré Carré:   Nous produisons des porcs provenant d’une race ancienne d’Angleterre nommés Berkshire. Leur alimentation est à base de courges, […]

Collaboration entre l’Université Laval et les cidriculteurs artisans du Québec pour l’appellation contrôlée Cidre de glace

«Deux spécialistes de la Faculté des sciences de l’agriculture et de l’alimentation (FSAA) ont participé à la mise en place d’une appellation pour le cidre de glace, considéré comme un fleuron de la gastronomie québécoise.» «[…] Dans le cahier des charges élaboré par l’Association des cidriculteurs artisans du Québec, en collaboration avec les deux spécialistes […]

La pomme: une solution de rechange pour le sucre raffiné?

 

Saint-Joseph-du-Lac (Québec), le 28 septembre 2012 – Le gouvernement du Canada investit plus de 150 000 $ pour aider un producteur et négociant de pommes à mettre au point un procédé industriel expérimental et un prototype de chaîne de transformation permettant d’extraire les sucres naturels de pommes de qualité inférieure. L’honorable Christian Paradis, ministre de l’Industrie et ministre d’État (Agriculture), a annoncé cet investissement aujourd’hui.

« Cet investissement créera un produit à valeur ajoutée pour l’industrie de la pomme et aidera les transformateurs qui sont en quête d’une solution de rechange pour le sucre raffiné, une denrée dont le prix fluctue constamment. »

La réalisation de ce projet par Les Vergers Cataphard & Fils Inc. favorisera la compétitivité des pomiculteurs et des fabricants de produits alimentaires. La société Les Vergers Cataphard & Fils Inc., la troisième plus grande entreprise d’emballage de pommes au Québec, possède un verger de 20 000 arbres qui produit 1,3 million de kilogrammes de pommes par année dans la région des Laurentides et elle vend 3,8 millions de kilogrammes de pommes aux détaillants et aux épiceries. Cet investissement permettra à la société Les Vergers Cataphard & Fils Inc. de mettre au point et de perfectionner des procédés pour extraire les sucres naturels de pommes de qualité inférieure qui ne seraient autrement pas commercialisables.

« Nous sommes ravis d’obtenir un appui d’Agriculture et Agroalimentaire Canada pour la valorisation des pommes déclassées en produits à valeur ajoutée », a souligné le président de l’entreprise, M. Martin Cataphard.

L’investissement provient du volet national du Programme canadien d’adaptation agricole (PCAA), une initiative qui permet au secteur agricole de tirer parti des débouchés, de relever les nouveaux défis et de mettre à l’essai des solutions qui l’aideront à s’adapter et à demeurer compétitif.

Pour obtenir d’autres précisions sur le PCAA, veuillez visiter le site Web .

 

C’est le temps des récoltes et vous faites des conserves? Cet article est pour vous!

Le magazine Coup de pouce vous offre 15 recettes de conserves délicieuses pour l’automne. Cliquez sur la photos pour les consulter. Bon appétit!

OTTAWA, le 20 sept. 2012 /CNW/ – Santé Canada rappelle aux Canadiens l’importance d’adopter de bonnes pratiques afin d’assurer la salubrité des aliments mis en conserve à la maison. 

Si vous faites vos propres conserves maison (confitures, cornichons, soupes, sauces et fruits de mer), voici les étapes à suivre afin de réduire le risque de contamination ou de prolifération associé au bacille Clostridium botulinum.

Règles à suivre

  • Nettoyez et désinfectez vos mains, toutes les surfaces de travail, les ustensiles et l’équipement et gardez-les propres pendant toutes les étapes du processus.
  • Utilisez une marmite à pression pour les aliments peu acides, tels que fruits de mer, viande, légumes et sauces. Ces aliments doivent être préparés dans un autoclave afin d’éliminer les spores du Clostridium botulinumIl ne s’agit pas d’un autocuiseur ni d’une cocotte minute.  
  • Utilisez une marmite d’eau bouillante pour les aliments très acides tels que fruits, cornichons, choucroute, confitures, gelées, marmelades et beurres de fruits qui ne sont pas propices à la prolifération du bacille Clostridium botulinum.
  • Ajoutez un acide comme du jus de citron ou du vinaigre à la préparation de tomates. Elles ne sont pas assez acides.
  • Prenez soin de bien remplir le contenant ou le bocal d’un liquide approprié, comme un sirop, une sauce, de la saumure ou un agent acidifiant. La mise en conserve de produits frais sans l’ajout de liquide n’est pas sécuritaire. 
  • Lorsque vous suivez une recette éprouvée, ne substituez pas d’ingrédients et ne modifiez pas les quantités ni la taille du bocal : cela peut changer la température, le temps ou la pression nécessaires pendant la mise en conserve, que ce soit à l’autoclave ou dans une marmite d’eau bouillante, et faire en sorte que des bactéries demeurent dans l’aliment.
  • Respectez toujours la température, le temps et la pression et le processus recommandés dans la recette.
  • Le couvercle du bocal doit être bien scellé et concave (courbé légèrement vers l’intérieur). Rien ne doit s’écouler du bocal, aucune odeur non naturelle ne doit être décelable, aucun liquide ne doit gicler lorsque vous ouvrez le bocal.
  • Étiquetez vos conserves maison, sans oublier d’indiquer la date. Pour qu’elles soient d’une qualité optimale, consommez-les dans l’année qui suit.
  • Entreposez vos conserves maison dans un endroit frais et sec. Lorsque le contenant a été ouvert, réfrigérez les restes immédiatement.

Dans le doute, s’abstenir!

Rappelez-vous de ne jamais consommer d’aliments en conserve si vous soupçonnez qu’ils ont été altérés, si le couvercle ou le sceau est brisé ou si le contenant est renflé ou qu’il fuit. 

Le botulisme est une maladie grave qui peut survenir après avoir consommé des aliments en conserve ou en bouteille mal préparés. Le botulisme est causé par une bactérie, le Clostridium botulinum, qui produit naturellement des toxines pendant son cycle de vie normal. La toxine responsable du botulisme est incolore, inodore, insipide, invisible à l’œil nu et n’est pas nécessairement détruite par la cuisson. Il est donc essentiel d’en prévenir la formation.

On estime à près de 11 millions le nombre de cas de maladies d’origine alimentaire au Canada chaque année. Il serait possible de prévenir bon nombre de ces maladies en suivant les bonnes techniques de manipulation et de préparation des aliments.

Formations

Sachez aussi que plusieurs cours et formations sont offerts sur le procédé de mise en conserve artisanal dans plusieurs régions du Québec. À Saint-Hyacinthe, à Centre-du-Québec, dans Lanaudière et sur demande en passant par les Collectifs régionaux en formation agricole.

Plus d’information – à lire

Pour obtenir des conseils supplémentaires sur la salubrité des aliments lors de la mise en conserve ou en bouteille :

Feuillet d’information du gouvernement du Canada sur la mise en conserve à la maison

Feuillet d’information du gouvernement du Canada sur la mise en conserve ou en bouteille de poisson ou autres fruits de mer

Maladies d’origine alimentaire : Botulisme

Campagne Soyez prudents avec les aliments du Partenariat canadien pour la salubrité des aliments

Renseignements au public

613-957-2991
1-866-225-0709

35 ans, ça se fête : la Fromagerie Île-aux-Grues lance un nouveau fromage artisanal : Le Canotier de l’Isle

Ce diaporama nécessite JavaScript.

ISLE-AUX-GRUES, QC, le 12 sept. 2012 /CNW Telbec/ – Pour souligner en grand ses 35 ans et rendre hommage aux fondateurs, la Fromagerie Île-aux-Grues lance un nouveau fromage artisanal nommé Le Canotier de l’Isle, un fromage à pâte ferme affiné en surface, avec une croûte fine aux teintes ocre. La pâte ivoire, fondante en bouche, révèle des goûts très typés de noisette, avec de belles notes fruitées et de crème. La fabrication artisanale du Canotier de l’Isle s’inspire d’une recette ancestrale mise au point par les premiers fromagers de l’île, dans les années 1900.

« Nous cherchions à valoriser notre tradition fromagère de cheddar et notre expertise dans la fabrication de fromages fins », a déclaré monsieur Christian Vinet, directeur général de la Fromagerie Île-aux-Grues. Outre le défi de reproduire un fromage au goût d’antan, l’affinage nécessite de 9 à 12 mois pour assurer le développement de saveurs subtiles, caractérisées par le terroir d’exception de l’île et l’air salin. « C’est un fromage unique au Québec, un fromage traditionnel comme on le retrouvait à l’époque : artisanal, avec une croûte, fait de lait thermisé de vache provenant de l’île. »

UN NOM UNIQUE : LE CANOTIER DE L’ISLE

Cette meule de fromage haut de gamme de 10 kg arbore sur son étiquette une toile du peintre Robert Gagné de l’Isle-aux-Grues. Elle représente le transport du matériel et du courrier dans un canot à glace, seul moyen de traverser le fleuve durant l’hiver à l’époque de la première fromagerie. En période hivernale, le canot à glace prenait la relève des goélettes de bois, plus maniable à travers les glaces en mouvement continu.

Entouré d’eau, n’ayant aucun lien routier, Le Canotier de l’Isle est un clin d’œil au riche patrimoine maritime de l’île. Aujourd’hui, l’avion et le service de traversier permettent le transport des fromages hors de l’île.

UN FORT RÉSEAU DE DISTRIBUTION : DE GRANDES PERSPECTIVES

Grâce aux investissements importants réalisés pour moderniser les installations, entre 1999 et 2007, la fromagerie a mis au point une gamme complète de fromages fins. Le réseau de distribution s’est agrandi et les fromages sont maintenant vendus à la grandeur du Québec, ainsi qu’à Toronto, Calgary et Vancouver. Ils sont distribués principalement dans les fromageries et boutiques spécialisées.

En plus du Canotier de l’Isle, fabriqué en quantité limitée, la Fromagerie Île-aux-Grues fabrique une gamme de fromages fins aux saveurs uniques et authentiques : Le Riopelle de l’Isle, Le Mi-Carême, Le Tomme de Grosse-Île, ainsi que Le Cheddar vieilli Île-aux-Grues.

FROMAGERIE ÎLE-AUX-GRUES

En affaires depuis 35 ans, soit depuis 1977, la Fromagerie Île-aux-Grues, le cœur économique de l’île,  compte aujourd’hui cinq producteurs laitiers, tous sociétaires. Elle a pour mission de transformer l’ensemble du lait produit sur l’île contribuant ainsi à conserver le patrimoine agricole, en plus de favoriser le développement durable du milieu. En se limitant au volume de lait produit sur l’île, la fromagerie s’assure d’offrir des fromages de qualité fabriqués à partir de lait frais et ayant des saveurs uniques à son terroir.

Au cours des dernières années, l’entreprise a fait un travail considérable pour mettre en marché des fromages de qualité supérieure auprès des consommateurs. En gage de qualité de production, la coopérative est reconnue HACCP (Hazard Analysis Critical Control Points) par l’Agence canadienne d’inspection des aliments depuis juillet 2009.

Pour plus d’information :  http://www.fromagesileauxgrues.com/.

Création du Fonds de l’industrie bioalimentaire Québec (FIBEC)

Le FDTA investit 6,5 M$

SAINT-HYACINTHE, QC, le 30 juill. 2012 /CNW Telbec/ – Le Fonds de développement de la transformation alimentaire inc. (FDTA) est heureux de s’associer à l’initiative du gouvernement du Québec pour la création du Fonds de l’industrie bioalimentaire Québec (FIBEC). Ce dernier vise à répondre aux besoins des petites et moyennes entreprises du secteur québécois de la transformation alimentaire qui cherchent du financement et de l’expertise spécialisée et ce, à un coût compétitif.

La création du FIBEC, avec une enveloppe initiale de près de 40 millions de dollars, dotera l’industrie agroalimentaire d’un outil qui permettra aux entreprises, la plupart des PME, d’aller de l’avant dans leurs projets de développement ou encore d’amélioration de compétitivité.

«Au nom du conseil d’administration du FDTA, je tiens à souligner la détermination du ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec, M. Pierre Corbeil, à réaliser un projet qui tient à cœur au secteur : un fonds doté d’une enveloppe intéressante qui permettra d’aider les entreprises agroalimentaires. Le FDTA est un partenaire dans ce projet et s’est engagé à investir 6,5 millions de dollars dans le FIBEC» a déclaré M. Paul Noiseux, président du conseil d’administration du FDTA, lors de l’annonce faite par le ministre dans les locaux du Centre de commerce mondial de Montréal.

À propos du FDTA

Depuis sa création en 1996, le Fonds de développement de la transformation alimentaire (FDTA) a supporté 558 projets de l’industrie agroalimentaire québécoise en accordant près de 36.5 millions de dollars en aides financières. L’investissement dans le FIBEC constitue donc un pas de plus pour aider les PME du secteur à relever les défis actuels et à venir.

Le CTAC se réjouit aussi de la création du FIBEC

 

27 juillet 2012 – Le Conseil de la transformation alimentaire et des produits de transformation (CTAC) se réjouit de la création du Fonds de l’industrie bioalimentaire du Québec (FIBEC), tel qu’annoncé par monsieur Pierre Corbeil, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ).

«La demande de revoir l’accès à du capital de risque avait été faite depuis longtemps et nous sommes heureux de voir que l’industrie a été entendue» d’indiquer Mme Sylvie Cloutier, présidente-directrice générale du CTAC.

M. Corbeil avait d’ailleurs fait cette annonce en primeur dans le cadre du congrès annuel du CTAC en mars dernier devant près de 500 personnes. La restructuration est positive et va permettre de joindre les forces actuelles des organisations d’aide en place en plus d’apporter de nouveaux fonds. Le FIBEC bénéficiera à tous grâce à une nouvelle synergie au service de la PME. Sa création est ainsi tout à fait justifiée.

Impact économique de la transformation alimentaire

  • 70 % de la valeur des ventes des producteurs québécois,
  • 70 000 emplois directs dans 2 000 entreprises déployées à travers le Québec
  • Représente un peu plus de 13 % du produit intérieur brut du secteur manufacturier.
  • Chaque augmentation de 1% des ventes de l’industrie de la transformation alimentaire québécoise crée 1412 emplois directs et indirects.

La prospérité de l’industrie ne profite pas qu’à celle-ci : elle reverse impôts et salaires et crée une valeur ajoutée dans les régions du Québec.

«L’industrie de la transformation alimentaire verse annuellement 700 millions $ au Gouvernement du Québec» de souligner Mme Cloutier. 

Le CTAC souhaite maintenant que l’engagement du gouvernement envers l’industrie aille au-delà de la création du FIBEC, bien que ce dernier soit une assise importante pour le secteur et une étape que le CTAC reconnaît à sa juste valeur. Une augmentation du budget consacré à l’industrie permettrait au MAPAQ de poursuivre son investissement. 

À lire aussi

24 juillet 2012 – Terre de Chez Nous – «Capital Financière agricole devient…le FIBEC», par Yvon Laprade

Extrait: «Il s’agit là d’un virage majeur au sein de la filiale d’investissement stratégique de La Financière agricole, qui compte une soixantaine de projets d’investissements à son actif. La filiale spécialisée en investissement agroalimentaire a été créée en 2002 et son mandat consiste à « soutenir des projets d’investissement allant de 500 000 $ à 10 M$ », sous forme de capital-actions ou de prêts non garantis, par exemple.»

%d blogueueurs aiment cette page :